Ici lors des tests discrets (d'où la déco ancienne) en baie de Quiberon. Il vole dès 5 knots et il est stable jusqu'à 25, pour beaucoup c'est l'avenir des JO. (photo coll. T. Wibaux en exclusivité pour CataMag).
Tout le petit monde du cata bruisse en attendant la réunion du mois de mai de l’ISAF. Chacun essaie de vendre et montrer son support d’où des entraînements internationaux à l’ENV pour les SL16 et F18, juste avant l’Eurocat, le projet d’un F18 avec mat carbone, spi de 25 m2 et GV de 23 m2, voir des Tornados tirés au sorts au moment du départ pour les plus accrocs à l’équité sportive. Les manoeuvres de couloirs vont bon train, les français ont de grand spécialistes dans ce domaine. Mais dans sa grande sagesse et l’influence anglaise, le CIO et l’ISAF ont une préférence pour le projet du Dart à foils. Il est économique, c’est la reprise des milliers de Dart 18 existants et une production sur au moins deux continents dont l’Afrique, spectaculaire, l’exemple du Moth n’est pas loin et particulièrement ouvert aux couples mixtes. Sur ce registre le CIO s’est attiré ,comme on pouvait s’y attendre, les foudres des mouvements gay et lesbien, une marche arrière est maintenant envisageable.
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