La ffvoile vient de changer l’intitulé de ses classements nationaux qui ne regroupent plus seulement les catamarans mais dorénavant les multicoques de sport. Concrètement, cela ne change rien en attendant des éventuels trimarans. La ffvoile se rapproche des terminologies internationales ou le ‘multihulls ‘à supplanté le ‘catsailing’.

Les salaires et frais de personnels représentent aux alentours de 2 millions d’euros, le coût du siège fédéral (frais, amortissement et intérêts d’emprunts) près de 500.000 euros. Les assurances des licences et la gestion de celles-ci: 768.000 euros. L’animation régionale est budgété à hauteur de 714.000 euros. La soirée des Champions coûte 102.000 euros. Pour le haut niveau le windsurfing et le catamaran se partagent 10.000 (dix mille) euros. Dans le chapitre développement la relance des écoles de sport (la base de la pyramide sportive) à une enveloppe nationale de 30.000 euros. L’équipe de France de Match-Race dispose, elle, de 320.000 euros. Si la Semaine Olympique Française (SOF) a un budget de 365.000 euros, les autres épreuves française de voiles légères ont une enveloppe globale de 92.000 euros. Enfin le budget de la signalétique et du textile siglé fédéral s’élève à 424.000 euros, la donne en ce domaine change puisque le partenariat avec Orange est perdu, ce qui entraîne une nouvelle négociation du contrat avec Havas. Les investissements sont de 764.000 euros dont 510.000 euros pour le haut niveau Olympique (pas de cata donc) et 169.000 euros pour le remboursement du capital du siège de ffvoile. Reste à connaître le détail des ressources, les presque 90.000 licenciés constituent une partie non négligeable des recettes. l’Etat via la convention d’objectif (colonne CO’10) apporte 3,24 millions d’euros qui vont à 50% sur le haut niveau Olympique et le reste sur les objectifs fixés par la convention dont 250.000 euros pour les pôles.

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