A priori les testeurs essaient de faire du près. La position de l’équipière (1), sa manière de tenir l’écoute (2), les dérives relevées (3), la rotation du mât lâchée (4) et les esthètes auront relevés que le cunni est pris sans se soucier de la tension de la bordure (5) font douter du crédit à apporter à l’évaluation du support, à moins de considérer qu’il s’agit d’une sélection pour faire de l’école de voile (les deux autres sont sur la photo du Viper de la même série, dérive en bas sous spi et plis dans la voile) .
SVP Mesdames, Messieurs de l’ISAF prenez le catamaran au sérieux ! Comment évaluer des supports pour une pratique à haut niveau si l’on ne maîtrise pas ledit support de manière générique ?
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