Le choix du catamaran de sport Olympique mérite mieux que cela !

A priori les testeurs essaient de faire du près. La position de l’équipière (1), sa manière de tenir l’écoute (2), les dérives relevées (3), la rotation du mât lâchée (4) et les esthètes auront relevés que le cunni est pris sans se soucier de la tension de la bordure (5) font douter du crédit à apporter à l’évaluation du support, à moins de considérer qu’il s’agit d’une sélection pour faire de l’école de voile (les deux autres sont sur la photo du Viper de la même série, dérive en bas sous spi et plis dans la voile) .

SVP Mesdames, Messieurs de l’ISAF prenez le catamaran au sérieux !  Comment évaluer des supports  pour une pratique à haut niveau si l’on ne maîtrise pas ledit support  de manière générique ?

Les catas à la parade avant une première journée musclée. photos: Orion Martin

Deux visions du début des tests, les deux par les marques/usines françaises présentes.

Orion Martin (Champion d’Europe en titre HC16) supporte les 4 Hobie dans un esprit très « way of life », si on lui demande s’il à la pression, il répond oui je suis au bar…. Attention, ne pas se méprendre c’est un vrai pro avec beaucoup de talents et une belle force de travail

« le briefing étant prévu à 10h30 nous sommes arrivé tous tôt ce matin ( toutes les factory) pour gréer nos beaux engins « nickel » pour nos premiers testeurs . On se croirait au salon nautique de Paris . Bateaux affutés , propres, alignés , enfin tout le monde est prêt . La bonne ambiance règne sur le parking entre tous pas de compète, nous sommes tous la pour présenter et non vendre nos bateaux cela me fait du bien . On rigole et on se parle , et même on viens se renseigner ou découvrir le bateaux des autres.

10H30 briefing pour tous ( team factory et testeurs ) ou l’ on nous explique le déroulement de la semaine . Chaque équipage essayera deux bateaux par demie  journée et devra rendre un rapport à l’ ISAF après chaque nav. avec question sur leurs impressions . Le questionnaire est top secret ;-) . Notre rôle est de guider les équipages sur les réglages le fonctionnement, ainsi que les particularité de nos bateaux .Il y a de grandes pointures de la série mais aussi d’ autre qui peut-être sur leur support déchire,  mais n’ont jamais fait de cata ou encore moins de skiff.

Départ prévu pour 14h pétante.

A 14h pétante , pétole grand soleil on se croirait au printemps . Un 1/4 d’heure après changement de topo , un grain soudain arrive 25 noeuds dans la baie et c’est Beyrouth à terre comme sur l’ eau avec de nombreux dessalages et les sécurités ne savent plus qui sauver surtout chez les skiffs féminin ou plus un bateau est debout . Après des retours catastrophe tout le monde à réussi a retoucher terre et regagner les vestiaires du club de voile du Prince Phillipe .
Demain une dépression nous passe dessus avec un vent de nord ouest 30 noeud annoncé et des vague de 4m .

Après cette journée l’ ISAF a décidé que demain se serait les teams usine qui irons naviguer et seront observé. Enfin une bonne journée de mise en jambe pour l’ orge (ndlr: sic !) comme pour les coureurs. »

L’équipe de Siréna qui soutient le Spitfire S, nous apporte quelques précisions via facebook:

Apres le briefing qui avait lieu ce matin à 10h30, le 1er équipage (deux français : Arnaud Jarlegan et Anne Claire Le Berre) a tester le bateau est parti à 14h, avec un vent très changeant et faible. Mais cela n’aura pas duré longtemps, le vent c’est levé d’un coup à plus de 20 nœuds. Avec ses conditions, les bateaux dessalent dans tous les sens et beaucoup de bateaux rentrent à terre, sauf le Spitfire S et un Tornado. Les équipages n’hésitent pas à les pousser aux maximums. Le Tornado finit par rentrer, mais le Spitfire S reste encore sur l’eau et c’est le comité de l’ISAF qui demandera à l’équipage de revenir à terre.

Pas de nav. le dimanche car trop de vent, les tests reprennent aujourd’hui.

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